Je suis étudiante dans une faculté de médecine à Lille et plus particulièrement dans la filière de dentisterie. Un jour, alors que nous étions en pleine simulation d’opération pendant un cours, l’un de nos enseignants s’est retrouvé assassiné dans une des salles annexes.
Le souci, c’est que cette salle annexe ne peut être traversée qu’en passant par la salle où nous étions tous pour la simulation. Cela voudrait dire, que l’un d’entre nous est le criminel, mais qui ?
Le meurtre
Notre enseignant a fait une overdose, cela signifie donc qu’il y avait de la drogue dans la boisson qu’il a bu. Cependant, d’après ce que disent les légistes ce spécialiste de la facette dentaire Lille ne présente pas de signes d’agression.
C’est pourquoi, au départ lorsque nous avons entendu parler de l’affaire, nous sommes tous dit qu’il s’agissait d’un suicide. Cependant après enquête, il se trouve que la personne qui l’a assassiné a voulu faire passer cela en suicide.
Parce que notre enseignant avait ingéré cette boisson pendant que nous étions tous en pause et que seuls les étudiants de ma classe avaient accès à cette salle annexe, nous sommes tous devenus suspect de ce crime odieux.
Tour à tour, les enquêteurs nous ont interrogés afin de connaître notre impression, notre relation avec la victime, nos possibles alibis. Après nous avoir interrogés, ils nous ont dit que la liste des suspects était réduite puisque seul l’ADN et les traces de pas de 8 personnes ont été retrouvés sur le lieu du crime. L’une de ces 8 personnes était la victime, une autre de ces 8 personnes était un professeur, et les six autres étaient des étudiants qui n’avaient pas d’alibis, mais dont les traces ADN avaient été retrouvées dans la salle. Malheureusement, je faisais moi aussi partie de ces six étudiants.
Le tueur
Après avoir réduit la liste des suspects, les enquêteurs ne cherchaient qu’une chose, quel aurait pu être notre mobile. En se penchant sur cette question, la liste des suspects s’est réduite davantage, nous n’étions désormais que trois à avoir un mobile.
D’un côté, notre professeur qui d’après l’enquête, avait découvert que la victime entretenait une relation avec sa femme. Un de mes camarades de classe qui avait un conflit concernant un possible plagiat de la thèse de la victime, puis moi, qui était la nièce de la victime et qui toucherait un héritage important suite à ce décès.
L’un d’entre nous est peut-être le tueur, moi je connais mon rôle dans cette histoire, mais je n’en dirai pas plus.
Je n’aurais jamais pensé que ma future carrière de dentiste spécialisée en facette dentaire puisse être mise en cause… J’ai un rêve et je ferai tout pour l’atteindre, quitte à prouver que les autres ont plus de raison d’être coupable que moi.